Toute masse soumise à une pensée exécutée du haut vers la bas, sans volonté de nuire, mais surtout avec l’envie d’annihiler toute autre forme de pensée transitoire dans notre monde, ne vaut le coup d’être mémorisé. Ainsi, Étant donné une simple idée, dont la banalité est outrageante, peut, si elle est soumise à l’adéquation de masse, devenir un instrument de non-réflexion et de précipitation collective.Ainsi il serait occasionné sur un individu dont l’état réflexif est proche du zéro, une force cognitive qui prendrait place en lieu de la pensée du dit individu, ce qui pour conclure nous conduit à conclure que la masse est au repos de l’esprit ce que l’idée est à la torture de l’âme…voilà…. enfin, c’est que je pense, je vais relire le début…
Tes photos sont aussi précises que le regard est vif.
Ce que je vois est insaisissable
ma mémoire invente la durée et seul un symbole prend de l’espace
une photo que je ferais et qui engloberait tout ça saurait rendre compte de ce que j’ai perçu
je ne sais pas si c’est très clair…
J’aime beaucoup cette photo d’une femme qui marche à côté du ticket de bus parce qu’on voit très bien (surtout) le trombone.
As tu un mail que je te montre mon album de Berlin ?
A bientôt, Elsa.