Comme une envie…


Là ! Comme une envie de peloter une paire de gros seins, de saisir  à pleines mains une croupe rubenoïde ou presque, d’enfoncer dans une bouche mon humanité mâle, de voir un cul et son voisin s’asseoir sur ma bouche… d’en suer, d’en rire… qui a parlé de crise ? Quelle est la femme qui n’en serait pas ravie si elle en a envie une fois dans sa vie de mon vit…. votre avis ? Je m’en fous, je profite goulument de ma liberté d’expression, de ma liberté d’émotion, tant que faire se peut et tant qu’il en est encore temps…. tout cela est bientôt fini, la fin du monde est pour l’année prochaine. J’ai, en toute simplicité, prévu d’organiser une partouze géante juste la veille, là chez vous ou à côté de chez vous, m’imaginez-vous mesdames, vous malaxant la masse fessière d’une main tout aussi délicate que lourde ? vous titiller le téton tendu et mamelonnant ? Vous manipulez le sein serti  dans un suce-vêtement pigeonnant ? vous boire à pleine lèvres….. je pense que ce 20 décembre 2012 sera fatigant…. tant qu’il y a des gens pour y croire, il y a de la poire.

tiens parlons art et culture….


Ce n’est pas que je sois contre mais cependant… force est de constater… Outre le grand flux mondial qui englue la planète dans une quête honteuse du beau, du bien fait et  du génial à outrance… On entend tout et pire encore, on voit tout,  même les yeux fermés… on pourrait passer son temps à lire et en mourir. Quand l’Art était l’apanage des élus, de ceux qui avaient eu la chance d’apprendre  à lire et écrire on en avait certes  moins  à se mettre  sous la dent, l’oeil, l’oreille… mais c’est cette rareté qui en faisait sa richesse et sa beauté. Aujourd’hui, là à portée de mains quelques milliards de musiques, quelques milliards de chansons, quelques milliards d’images…. je n’ai même pas le temps de tout voirentendrelire….. Mais soyons juste, il y a beaucoup de déchets, beaucoup d’éléments indigestes qui s’ils n’existaient pas ne m’auraient pas empêché de respirer…. plus on ingurgite plus on produit de déchets, bref le caca est gros. On a l’impression qu’on ne peut pas s’empêcher d’écouter, d’accompagner sa vie avec une multitude d’images fixes ou mouvantes, j’ai fait le tour du monde en trente minutes, sans bouger mon cul de ma chaise… bref tout cet art s’est démocratisé, il est aussi simple d’accéder au son musical de nos jours pour un quidam que de signer un document pour un autre quidam du 18ème siècle…  qui va être encore être génial, exceptionnel…? Si ce n’était que cela… cette démocratie redonne naissance  à une nouvelle aristocratie…. « les fils et filles de… » les M, H, Ours, Gains…, chich, réalisatrices, créateurs de tout poil….comme s’il existait une obligation régalienne de reprendre la boutique, génial de père en fils…. Ils sont certainement géniaux, admirables, fantastiques… Ils sont quelque part dans le grand mix numérique mis en réseau autour de la planète… Il faut plonger sa main et on retire un fils ou fille de, attaché à un carnet d’adresses dont on ne peut connaître avec précision l’origine… le de n’étant qu’une néo particule…. Qu’en dire ? après la politique, l’industrie, l’économique… la culture ? on critique les castes indiennes, mais nous avons les nôtres plus insidieuses, moins voyantes…. la pensée unique nous chie sur la gueule…. et si les maquettes de disque étaient présentées de manière anonyme, les budgets de production aussi…. et si la fin d’un monde devenait nécessaire ?

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