Je pourrais vous parler du plaisir à observer certains suintements entre les seins des femmes dont les décolletés sont glorieux, profonds et présents…mais je l’ai déjà fait. Je pourrais vous décrire combien il est est envoûtant de voir ces croupes onduler sous ces jupes satinées alors que le vent plaque sur leur chair parfois ferme ,parfois flasque, le tissu léger et court… mais je l’ai déjà fait. Je me contenterai de rester fidèle à mon sujet, le con… lourd, pesant, glorieux, ignorant de l’être, précis cependant dans sa tâche à faire remarquer qu’il en est un. Le con ne saute pas aux yeux comme une étiquette de soldes à moins 75%, non, il se rencontre. J’étais parti dans un bar du centre de ma ville pour faire l’achat au rayon presse, du Monde, journal qu’il m’arrive de lire durant mes vacances saisonnières. Je le cherchais donc, lorsque je fus interpelé par des voix dont les corps correspondants étaient accoudés au comptoir de ce bar. Il était 18 heures, l’apéro avait du commencé quelques heures auparavant, cela se voyait à la couleur carminée, pourprée que l’épiderme du plus bavard d’entre eux avait pris au contact de la douzaine de pastis qu’il avait ingurgitée. Ils parlaient de géopolitique, d’Histoire, du monde et des environs… Mon rougeaud réagissait à l’insistance de l’un de ses condisciples à évoquer le mot Mozambique. Il prétendait que les Encas avait été les fondateurs dudit Mozambique… ils ne s’engueulaient pas, non, ils discouraient aimablement… Les Encas du Mozambique, tout le monde le sait bien… C’est beau une ville à l’apéro…