Amiens…


Ce matin, il était dix heures passées, je prenais un petit café. A ma droite deux femmes, l’une d’elles est déjà au rosé et elle clope, elle raconte sa vie, qu’elle a reçu son décompte pour la retraite, que lorsqu’elle était dans l’armée, les paras, c’est là qu’elle avait connu son mari qu’était para. Puis elle a dit que ses treize enfants vont compter et qu’elle avait arrêté de travailler au cinquième, qu’elle avait encore maigri, qu’elle avait mal au ventre, que les médecins ils ne trouvaient pas ce qu’elle avait… Puis elle a recommandé un rosé et rallumé une clope…

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