chroniques de la haine apaisée: 15


Elle était enfin là… attachée, liée, de ses pieds  à son ventre nu, la corde passant par sa nuque qu’elle courbait afin qu’elle ne puisse se dégager. Elle le regardait, violente, insoumise… Il s’en délectait, il la savait désormais sienne, à terre. Du sang coulait le long de ses lèvres, le lien remontait, avec une forte contrainte, ses deux bras dans son dos. Ainsi attachée, son cul s’en trouvait sublimé, c’était la seule partie de son corps qui présentait une visibilité et une accessibilité totale… il se préparait….Mais il fallait au préalable qu’il  apaise l’hémorragie provoquée par le sectionnement  de son sexe…. Elle avait encore la bouche fermée, il fallait qu’elle  crache le morceau d’une manière ou d’une autre…

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