femme neuvième


Il y a des culs qui passent dont on aimerait en avoir dessiné la courbe, imaginé la texture de la peau, sculpté la forme dans une terre argileuse au grain si fin qu’on eut pu croire qu’il existât un pendant féminin au Golhem. Cependant ces culs passent et ne repassent jamais….. je les aime.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :