2012…. fin du monde… 21 décembre


De l’humour corrézien, du sarkozisme ordinaire, du dskisme de fond de culotte…. et alors on est presque à la fin du monde, c’est ce qu’ils racontent  à la radio en ce moment… L’histoire de  deux cons qui racontent qu’un gourou leur aurait fait croire que le Christ lui avait confié la mission de les sauver en les emmenant dans un vaisseau extra-terrestre… pendant des années et des années ils y ont cru… madame, femme de monsieur a même fait don de son corps pour sauver le monde… poussons le bouchon plus loin;  pendant ce temps là, leurs propres enfants se  faisaient maltraiter… pas la peine d’attendre 2010 …. aussi cons, c’est que le monde est déjà fini. C’est bien la radio, j’écoute la radio, j’espère qu’il y a aura la radio pour la fin du monde. j’ai déjà survécu à plusieurs fins du monde… moi comme d’autres d’ailleurs… au bug de l’an 2000, aux élections de  2007… et je suis encore vivant. Admettons que le monde se termine ce 21 décembre 2012…. deux solutions: quelques temps avant, les massacres vont s’intensifier, les suicides collectifs, les émeutes de rue, les prières collectives…. tous les fragilisés de la névrose existentielle vont se pointer avec à la main, crucifix, fusil, livres saints divers et variés, voir avariés…. il ne fera pas bon traîner dans les rues… mais cela fera de la place, cela commence  à manquer. Et puis l’autre solution… celle que je préfèrerais voir et vivre…. la grande partouze mondialiste… hauts les coeurs et les bites , seins de tous pays unissez-vous… 2012 année de la partouze… 21 décembre partouze…. 22 décembre gueule de bois…. 23 décembre on remets çà…. s’il y a une femme volontaire pour m’y accompagner , qu’elle me le fasse savoir…je lui tiendrai la main ! et plus si confinité.

le temps passe…


Toujours plus vite, toujours plus … avant tu étais à cinq kilomètres ou cinq minutes  à pied, maintenant  tu es  à cinq heures d’avion… à pied. Avant  tu  lui faisais l’amour cinq fois dans la nuit , maintenant tu fais l’amour une fois  à cinq femmes différentes sans changer de préservatif… t’as pas le temps de préliminer. Avant tu avais cinq doigts à une main, maintenant tu as cinq fois un doigt, mais un seul trou du cul. Avant tu  faisais cinq photos et tu les récupérais cinq jours plus tard, maintenant tu en fais cinq mille et tu jettes ton appareil quand les piles sont usagées… cinq piles c’est cher. Avant … le jour de la fellation on s’y préparait cinq jours à l’avance, fallait oser, fallait apprécier…  Maintenant faut avoir du temps  à y consacrer… entre deux rendez-vous, entre deux lèvres. Avant j’étais cinq fois moins con, maintenant je ne suis que con, cinq fois par jour… Plus le temps se déroule, plus le présent est petit et gros, rapide, insaisissable… le temps, on n’a même plus le temps de le regarder passer, défiler, on ne se voit même plus vieillir… toujours en train de se faire …. tiens ! il y a cinq minutes c’était avant ! plus vite s’il te plaît…

le sexisme…


J’avoue…. je suis un grand regardeur de femmes, de fesses, de croupes, de hanches, d’ondulations de dessous de fines robes d’été et de printemps précoces, de courbures et de cambrures qui nourrissent des fantasmes dont certains sauraient se contenter… j’avoue, je suis en quête de furtifs regards croisés sous les yeux des maris footbalisés, de visages aux regards attendris ou excités tournés vers moi, le mateur, l’observateur, l’effeuillant des corps féminins… j’avoue qu’il me passe  au travers de mon regard intérieur de longs instants saillants, d’images toutes plus pénétrées les unes que les autres… j’avoue que je suis sensible  à vos culs  qui s’éloignant  de mes yeux,  donnent  à ma vie un rythme  chaloupé que la musique n’a su  recréé… J’avoue aimer ces moments où le silence  s’installe dans ces discussions de fin de journée, suite  au passage  lent  et arrondi d’une paire de hanches qui ne peut se comprendre que dans mon espace à trois émotions… J’avoue  et j’attends que l’une d’entre vous me dise encore…..

Le féminin de la féminité


Vous est-il déjà arrivé de  me trouver face  à une sensation suave et  à l’odeur évidente, mais cependant absente…. Que savez-vous de cette odeur? qu’en imaginez-vous ? Voilà la faiblesse de mon hommiscuité, cette tendance qui me pousse  à me retrouver au contact infime de l’odeur du cou des femmes, d’une femme, celle dont l’odeur ne m’est pas, mais cependant…c’est bon, c’est érotique, c’en est violent, c’est stimulant sans être lent, c’est  mon vivre, c’est mon allumette qui craque sur un mur, son mur auquel elle s’est adossée, autrement autrefois. Je ne m’en irai pas, j’y resterai l’espace d’un de ces courts moments qui vous approche du oui tout en vous laissant sur le bord de l’interdit…. juste un peu de salive pour goûter la texture de la peau, la lecture de de son corps…deux secondes d’internité interdites… Juste ne pas savoir son odeur, la deviner.

peau litesse


Visiblement tout va mal….chez les politiques. Le feu au cul ou ailleurs, ils sont en train de se montrer terriblement humains… Si on résume ce début d’année: un tremblement de terre, une centrale, des révolutions au nord pour les uns, au sud pour les autres, là pour d’aucuns…un Ben Laden, un DSK USA dans le caca, un ministre de la fonction publique par deux fois peut-être, un ex ministre de la culture comme un Dutrou, un futur ex président en queue du peloton des futurs, une enceinte comme si c’était important, une Europe en couille…. bon j’attends demain pour le dire.

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