Vous est-il déjà arrivé de me trouver face à une sensation suave et à l’odeur évidente, mais cependant absente…. Que savez-vous de cette odeur? qu’en imaginez-vous ? Voilà la faiblesse de mon hommiscuité, cette tendance qui me pousse à me retrouver au contact infime de l’odeur du cou des femmes, d’une femme, celle dont l’odeur ne m’est pas, mais cependant…c’est bon, c’est érotique, c’en est violent, c’est stimulant sans être lent, c’est mon vivre, c’est mon allumette qui craque sur un mur, son mur auquel elle s’est adossée, autrement autrefois. Je ne m’en irai pas, j’y resterai l’espace d’un de ces courts moments qui vous approche du oui tout en vous laissant sur le bord de l’interdit…. juste un peu de salive pour goûter la texture de la peau, la lecture de de son corps…deux secondes d’internité interdites… Juste ne pas savoir son odeur, la deviner.