Il fut un matin, ignorant ce que l’émotion me couterait en larmes et vides, je sortis, mon appareil à la main…juste pour sentir ce que la rue proposait de neuf et de violent à mon esprit vide de toute turbulence. Je respirai hasardeusement comme à l’accoutumé, cherchant du regard ce que je ne pouvais voir et comprendre. Je tombai , comme irradié, devant un tissu rouge posé sur un mur gris. Je pris une photo, j’inventai un nouveau mot….je soupirai.Tout cela ne pouvait remplacer l’éclair de ses yeux. je m’autodétruisis tout au bord d’un verre d’alcool improbablement buvable…même les mots me dégoutaient. je choisis un bruyant silence intérieur.