« Auprès de l’âme à l’heure où les corps sont couchés, c’est là que j’ai vu fleurir le regard des gens perdus. Le vent s’est alors levé, ce sont ses yeux qu’en premier j’ai vus. Ils étaient là, affleurants, me regardant. C’est ainsi que j’ai compris qu’une seule nuit ne suffirait pas à l’aimer, moins encore une vie. C’est l’image de ses yeux cherchants qui m’est restée. Que pouvaient-ils comprendre ces aveugles déambulants ?
Une nuit, passant, j’ai su que toute ma vie était là… »
Bonsoir Laurent,
C’est vraiment magnifique de ce tu fais. Tu es un « Grand », un vrai.
Je reviendrai faire un tour sur ton blog.
Les textes et photos sont admirablement accompagnées.
@ bientôt
Pascale
Plutôt cool les photos j’aime les nus bravo