Petite histoire pornocratique de la belle Clémence 23


Elle saisit son téléphone, sans aucune hésitation, composa le numéro, mon numéro… Mon téléphone sonna, je le laissai sonner trois fois avant de décrocher.

 » Bonjour Clémence, heureux de vous entendre

_ Bonjour… Comment dois-je vous appeler ?

_ Vous, me suffira. Vous vous êtes enfin décidée à accepter ma proposition ?

_ Il y a de fortes chances, mais j’aimerais à nouveau vous rencontrer.

_ ce ne sera pas possible de suite… Je veux juste vous dire que depuis trois ans,  je vous observe, je vous protège de certaines personnes et de certains déroulements de situations dans lesquels vous pourriez choir, mais je vous laisse affronter votre réalité telle que vous l’avez envisagée. Je ne suis près de vous que pour protéger ce que vous représenter pour notre congrégation…Quand vous aurez acceptez, je préviendrai mes pairs et vous pourrez commenc…

_ Comment êtes-vous certain  de ne pas vous tromper ?

_ Je ne suis certain de rien, vous êtes celle sur qui mon regard s’est arrêté, mon intime conviction, ma certitude faite femme… Si vous acceptez et que vous rompez notre contrat sans nous trahir, je me contenterai de passer  à une autre recherche.

_ C’est oui… mais à condition que nous commencions de suite. Je veux commencer  à devenir…

_ C’est l’effet de quelques jours, je dois d’abord en informer mes pairs, obtenir leur assentiment et seulement après je te dirais que faire. Je te téléphonerai… »

Je raccrochai  et repris son observation de la fenêtre qui donnait sur la cour intérieure de son bar d’où elle venait de me téléphoner. Elle ne chercha pas à me repérer, elle raccrocha en souriant, leva les yeux vers les immeubles qui  entouraient sa cour. Elle était vêtue d’une robe rouge, ses cheveux étaient d’un roux plus auburn que d’habitude. Elle releva sa robe sans dévoiler son ventre et quitta adroitement, tout en se déhanchant harmonieusement au son de la musique que l’on entendait par la porte de secours ouverte, sa culotte de soie noire qu’elle laissa au milieu de la cour non sans  s’être essuyée la bouche avec… Je fis mes courriers, les postai. Les réponses revinrent, toutes, une petite dizaine de jours plus tard. Désormais je ne m’occuperai que de Clémence. Je lui téléphonai, il était six heures du matin, elle était couchée depuis quelques heures. Je dormais quand elle dormait, ouvrais les yeux quand elle se réveillait, me réveillais quand elle ouvrait les yeux…

Une réponse

  1. Ma certitude faite … « homme » non ????? A moins que ….
    « Vous, me suffira » … Quel dommmage : vous auriez pu vous baptiser d’un nom ou surnom représentatif de votre pouvoir, de votre aura,
    de votre influence…
    Clémence va avoir besoin d’un nom pour bâtir et nourrir sa relation à vous … « Vous » ne lui suffira pas, cher Narrateur ….

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