Là ou ici, parfois, au fond de moi… j’ai cette peur du soir, seul, solitaire sans me sentir solidarisé…j’attends encore. Ailleurs, essoufflé, finissant ce long parcours commencé par ma naissance donnée, j’hésite, je m’espudrine, j’alicabore….encore et toujours. Ce temps flagrant qui saute à mes yeux, je vous le vole conchiures d’humains avec qui je dois partager mon air et mes aires… je vous laisse vos ères passées et à venir. Je vis, dans cette solitude acccablée, qui sans moi ne serait que de l’isolement mérité… je vous mots dits , humains entardés qui gaspillez ce temps que moi seul, égoïstement, j’aiguise afin qu’il soit coupant sur le fil de l’Être. Taisez- vous et écoutez, qu’avez-vous à me proposer en échange de mon silence…? je veux le temps de comprendre , le temps d’attendre et celui de m’étendre… Il est désormais l’heure. Laissez-moi seul à garder ce secret, dévorez moi mais ne me prenez pas le 27!