Encore et encore,j’y retourne en quête d’ivresse, en quête d’absence…la présence de mon absence. Boire pour savoir voir. Se conjugue le verre à la main, tremblante, le doute abreuvé, l’émotion exacerbée…boire pour s’oublier. À la deuxième et singulière personne du passé, je bois parce que je ne peux plus parler, juste se taire de mon silence….J’ai le goût incertain d’un vin qui me déposa au pied d’une vie…la mienne.