Elle n’était plus là, partie juste à temps par devant l’orage de fin de soirée qui trempa mon os resté sec jusqu’à cet instant…Elle n’était donc plus là, l’orgueilleuse, la pédante aux gros seins qui croyait que son espace mammaire lui eut donné un ascendant sur ma fébrilité masculine…l’orgueilleuse à l’orgasme lointain et oublié…putain notoire , de quel droit effeuilles-tu les souvenirs des âmes incertaines, les soir d’orages ?…femme esseulée, humaine nanifiée dans sa sclérose sans plaque ni place pour un autre… pauvre conne, lapinifiée dans une reproduction exutoire de sa seule féminité absente. Quel besoin as-tu de promener ton gros ventre comme une décoration de place de 14 juillet, ton ventre plein serait-il une victoire? Porte ton enfant en silence, ne t’en sers pas pour avouer…..Hitler lui aussi en son temps fut porté. Que son nom soit oublié…