Ma main s’y trouve souvent, reposée, inquiétée cependant. Il s’y trouve quelques poussières oubliées, un mouchoir de papier, des pièces de peu de valeur, une liasse de billets, des dollars de préférence… ma main et puis du vide , chaud ce vide. Je m’y réfugie quand j’ai envie de toucher, le corps de femmes croisées, les seins hauts placés imposant leurs présence au décolleté sillonné, des culs et des croupes, encore et toujours… et puis des hanches. Ma poche est pleine de caresses….. à donner.