La vulgarité, parlons-en! Cela a commencé par cette brune habillée de rose fuchsia… quoi qu’on en dise le rose n’est pas ce qui se fait de plus discret… surtout si on remonte sa robe bustier toutes les minutes , parce que ses seins ne sont pas assez gros et que l’on réajuste la ficelle de son string parce qu’il vous irrite le trou du cul… là… je suis vulgaire… et puis au fur et à mesure qu’elle buvait de la vodka raide boule, elle ne se rendait pas compte que sa robe se détachait et qu’elle laissait apparaître , gentiment, ses seins et son cul, parce qu’elle ne savait pas s’asseoir avec une jupe aussi courte … ses seins parce qu’elle rigolait et qu’elle ne contrôlait plus la descente de son bustier… sa vulgarité , parce qu’elle ne savait plus s’empêcher d’être vulgaire… son cul parce que c’est comme cela que cela s’appelle. Elle était recouverte de bijoux plus brillants les uns que les autres, à outrance, à profusion, jusqu’au percing de son sein droit qui transparaissait sous sa robe parce que trop gros, et puisqu’elle ne contrôlait plus les remontées de bustier, parfois le mamelon percé se laissait à passer par dessus, sa robe se détachant glissait plus brusquement…. si courte… cul. Elle en était laide, juste bonne à se retrouver dans une position, dont je tairais la forme , mais qui par métaphore ressemble à celle qu’ont les indiens, dans les vieux westerns, lorsqu’ils écoutent le sol pour savoir si la cavalerie arrive…. lui faire écouter la cavalerie…. elle parlait fort, si fort qu’elle n’aurait pu entendre la cavalerie arriver. Il y avait aussi son amie, contrainte dans une robe fourreau noire.. elle, elle se taisait… mais son maquillage parlait, jusqu’à me faire taire…. un masquillage, relevant des lèvres rouge pute qui incitaient à le lui retirer non pas avec un mouchoir, certainement pas avec un mouchoir…. je me serais bien vu rougir…. voilà pour cette vulgarité que moi homme je ressentis simplement… Un peu lus loin, calmement, joliment, lentement, une femme blonde, sans beauté extérieure de richesses, laissait aller un doigt entre ses deux seins assez ronds, remontés par un soutien gorge dentelé, visible et sobre… elle se caressait ainsi tout en parlant à une amie. J’aurais aimé être ce doigt.