Une fois l’an elle saute dans les bras de son amant, entière, offerte, ouverte… même s’ils parlent peu, leurs caresses violentes, suffisent à leur donner le sens qu’ils attendent. C’est elle, femelle ignorée, chienne d’une nuit, ses cuisses écartées la protégeant d’une tendresse silencieuse, qui jouit la première bruyamment. Tendre salope qui prend à cet homme ses sens, son sexe….elle brave un interdit ancestral, celui pour lequel d’aucunes et tristes femmes voilées se seraient faites lapidées.. Une fois l’an elle jouit dans son corps, de son amant…. rien de plus naturel.