Un très gros con…


Et encore un contrôle… sur une plage naturiste, un cerbère dont la taille des muscles est inversement proportionnelle à l’espace qui sépare les deux parties de sa boite crânienne m’intime l’ordre d’arrêter de photographier la femme avec qui je suis. Il contrôle toutes mes photos… visiblement lui seul sait ce qui est possible et impossible. son credo est: « interdiction de photographier sur la plage et sur l’espace du site… Qu’en est-il donc de ma liberté d’expression, de ma liberté de création, de ma liberté tout court ? Il ne m’a pas été signifié en rentrant dans ce centre que les photos étaient interdites, comme d’habitude rien n’est affiché et de toutes façons j’étais dans une relation privée à la photo avec une adulte consentante… il surveille, moralise certainement… je suis au calme, en vacances, je range mon appareil dans mon sac. Trente minutes plus tard, je suis en train  de consulter mon téléphone portable de marque étatsuniennes, mon amie remarque que le …. de garde est en train de m’observer, comme si j’étais en train de récidiver avec un matériel de haute précision, il se dirige vers nous et se fait engueuler par ma copine…. je commence  à douter de ma relation à la nature, du bien fondé de la nudité avec des règles si intransigeantes qu’il devient impossible de faire de la photo… je vous le dis et le répète, manipuler le réel devient un choix politique militant…. j’emmerde les naturistes, demain j’irai sur une plage loin du gros con à haut débit et je ferai ce que je veux avec qui je veux si j’en ai la force… Ni dieu, ni maître, ni gros con naturiste… putain de loi de 1998… Si les gens étaient si soucieux de leur Image, ils seraient moins gros, moins moches…. mais ils seraient toujours aussi cons.

Petite histoire pornocratique de la belle Clémence 4


Sa vie n’avait réellement débuté qu’à l’âge de ses seize ans, quand elle avait pris conscience de l’impact qu’elle pourrait avoir sur la gente masculine… Son premier amant fut un homme plus âgé qu’elle, un de ceux qui pensent qu’à quarante ans tout leur est possible, que leur influence testostéronique sur les femmes a plus d’importance que la parole qu’ils peuvent avoir avec elle, bref un futur vieux beau, un bito-dépendant centré sur un nombril passant par l’extrémité de son prépuce jusqu’aux poils qui ornent son torse viril… Elle l’avait choisi pour cela. Lui, n’avait pas vu la différence entre une gamine de seize ans et une Clémence de seize ans… On l’a retrouvé le lendemain, au bas de l’hôtel qui avait servi à héberger leurs ébats, leurs abats peut-être ? Il était hagard, se promenait torse nu avec  un pantalon qu’il tenait de ses deux mains, des marques de strangulations faites par la ceinture qui aurait du servir à tenir ce pantalon en place. Il avait un sourire béat mélangé à un regard cloitré par la peur, il ne parlait pas, il ne parla presque plus, il n’en parla jamais…

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