Petite histoire pornocratique de la belle Clémence 7


Après quelques secondes qu’elle prit pour de la réflexion mais qui n’était en fait que de l’observation plus ou moins concentrée sur son sein, je répondis.

« Il y aura des hommes effectivement , mais je dois t’expliquer ce qu’est mon gouvernement.

_Je t’écoute.

_Nous restons debout au milieu de la rue ou…?

_Là-bas il y a un banc, viens t’asseoir. »

Je la suivis quelques pas en arrière, elle marchait lentement, excessivement lentement, juste pour mieux laisser ses hanches envahir mon espace émotionnel… je restai de marbre. Quand nous fûmes assis, elle ne couvrit pas son sein, elle le laissa reposer fermement le long de son bras. Je lui expliquai.

« je viens d’un pays qui n’a pas de frontières, peu de population, dont les lois sont simples… je devrais dire la Loi. Dans ce pays il n’y a que des hommes tous persuadés que la femme est l’avenir de l’Homme, aussi bien dans son devenir matériel, que dans son exaltation sensorielle et dans son avenir existentiel. Nous sommes cent à travers le monde en quête de notre représentante, cent hommes qui avons juré fidélité à l’avenir de l’humanité si c’est une femme qui la conduit ou à sa disparition si les hommes continuent ainsi. Dans notre pays inconstitué chacun d’entre nous choisit une femme…  qui lui semble exceptionnelle par ses qualités physiques pour certains, intellectuelles pour d’autres. Chacun d’entre nous devra faire tout ce qui lui semble bon pour que sa représentante accède à toutes les strates du pouvoir, jusqu’à temps qu’elle soit celle qui conduira le monde… Si nous échouons , nous détruirons ce monde. C’est aussi simple…

_Et pourquoi moi ? mon cul ? mes seins ? …. le reste ? ce que je ne peux voir…

_Ton instinct de femelle…

_Et ma ma main sur ta gueule ? »

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