Elle fut la dernière rencontrée ce soir, la dernière vers sa tanière… Auparavant une autre à l’opulente poitrine et au doux regard, mais certain….Le moucheron se promenait sur l’écran. L’Isa était donc là . Non! me dit-elle. L’odieuse licencieuse refusait de croiser ma vie et mon destin. Elle, si sincère, si sensible, au sang si bleu…Ses meubles , elle devait bouger! Par la fenêtre je lui aurais balancés.L’Isa se refusa à boire un rosé pour des meubles à bouger…. qu’elle feigne j’eus compris , qu’elle mente provoqua mon ire, Mounir passa sans thé à la menthe, santé à l’amante, sans T alarmant et sans Allemand ôté…Isa remuera, tout comme je le fais avec les mots, ses mots bleus, ses meubles, son sensible sang si bleu, ses mots sans cible, ses bouts fardés, ses fards boudés…Isa , prends soins de toi, soulage ton dos et sous l’âge ton dos souffrira…..c’est le moucheron que j’écrasi sur l’écran , j’insiste j’écrasi…j’écrIsa…