Sans prendre la route, pour le moment , je consacre mes vacances à l’exploration systématique de l’état humain….j’y suis, je n’en reviendrai pas. Ce jour, cette heure, j’étais en compagnie lors de
ce moment appelé barbecue convivial….la viande y était rouge comme une vierge qui ne l’est plus, les merguez grasses, sinon elles n’auraient pas été merguez…. J’ai bu, j’ai mangé et puis j’ai fait ma sieste, en ronflant de préférence…un début de vacances à ne pas s’y tromper, j’ai donc vaqué à ne pas considérer le temps , les actes , l’adéquation habituelle entres ces deux éléments…ne rien foutre, ne rien penser, ne rien être….assez douloureux cette sensation de vide existentiel…..