Les vacances permettent l’humidification des corps nus, en recherche de fraîcheur, absents de leurs odeurs de sueur….ils se baignent après leurs stagnations héliotonique. Le passage de la chaleur à la fraîcheur ne se fait pas sans douleur…chaque cellule, qu’elle soit adipeuse ou épidermique, réagit fortement au contact de la froideur de l’eau , salée ou pas. L’essentiel est d’y rentrer, de ne pas y rester, d’en tâter, de mater, les naïadesques nudités, rubenstoïdes, giacomettitoïde ou moderno flasque, voir en forme de bouteille de rosé petillant portugais. Une fois dans l’eau on se débat pour ne pas se noyer , on s’y débat élégamment, on s’y ébat également, moi je m’en bats les couilles, parce que l’eau est froide , donc je les bats pour les réchauffer…ce qui me blesse, me fait crier….j’ai donc analysé le danger de l’approche de la fraîcheur de l’eau des bains de mer , amers et de mères. Je me démerde pour ne pas m’en battre les couilles, pour cela je n ‘approche pas de l’eau, je ne la pénètre pas (la mer pas la mère amère…parce que si la mère me propose un réchauffement comme suce indiqué au préliminaire lavable , ce qui en contracté donne un préalable..je ne peux ni refuser la pénétration de la mère, ni l’amertume qui en résultera)….donc les vacances et l’eau…que d’eau… que d’eau, queue d’eau…plonger dans l’humidité relative de la mère….je sais faire.