Et si me promenant au long de la plage, j’avais ressenti le mal de mer de l’être ? Me serais-je assis au bord de l’eau ? Je ne pense pas….Je continue , certain, sur, à exister en surcouleur chaude du soir…. Le sud, je l’aime vraiment bien pour ses couleurs qui m’embrasent l’âme, le cul des femmes, touristes ou pas, qui m’embrasent l’âme, les seins des femmes qui m’embrasent l’âme…. Parce qu’il faut reconnaître que c’est facile avec cette chaleur de se laisser aller à ce type d’embrasement…. facile de laisser parler son corps aussi bien pour un homme que pour une femme… et puis quoi d’autre ? La facilité avec laquelle, cette chaude légèreté intellectuelle m’embrase l’âme m’exaspère cependant quelque peu, trop peu de résistance à ces facilités visuelles et sensuelles, comme s’il n’y avait que cela à faire dans ce sud chaud, suave… je doute de son intégrité morale, de sa capacité à construire, écrire, créer… trop de chaleur peut nuire à nos âmes….. bon passons au cul suivant…. comment s’opérerait mon alchimie personnelle si, ce faisant, ma main chaude et humide se permettait de rentrer en contact avec un postérieur, avenant, tentant, éventuellement frais ? mon intellect s’en retrouverait-il fort marri et très contrit ? à réfléchir….