je vivais ce soir là sur une autre planète , replié, insatisfait, oubliant, oublié… je me battais contre mon humanité….j’aurais aimé violemment la caresser…il ne m’en était pas donné la possibilité….j’attendis, j’attendais, le vent, le moment où je me sens, le moment où le sang coule, l’innocent ne sait pas quand …J’ouvris les yeux, l’heure passée, le moment fini…je décidai de finir le monde dans lequel j’avais toujours vécu. Comment vous expliquer ce qui à ce moment manquait à mon existence, ce qui vibrait encore en moi sans que je sus le contrôler…tous étaient dans un état d’insuffisance intellectuelle, considérant l’importance du passé comme la prégnance du présent. Je m’arrêtai à ce moment opportun pour satisfaire à son baiser… Je n’étais qu’un pauvre homme mélancolique…considérant l’humanité dans sa plus vaste médiocrité…..je choisis quand la fin du monde commencerait….Elle survivrait peut-être.