Si l’on m’avait dit que je ne pourrais pas croiser son regard un soir par hasard, si l’on m’avait qu’elle me ferait tituber et de plaisir et de fin, si l’on m’avait dit que je finirais par me battre contre le sens de ma vie, si l’on m’avait dit que le sens que je donne au sens de ma vie se déroulait à contre sens, si l’on mavait dit: »tais-toi », si l’on m’avait dit de lui dire , si l’on m’avait dit que vivre c’est refuser, si l’on m’avait dit: « je crois avoir compris », si j’avais pu dire….je n’aurais rien changé.