Je ne saurais répondre à cette question sans vous avoir entendues, tendu. J’en aime la violence explosive, la dépendance subversive et la couleur de la lumière des yeux des femmes qui en usent ou abusent. J’ai souvenance d’un de ces moments, titubé, hébété, ahuri, fermé, interdit, convulsif, admiratif de mon impuissante puissance une fois absorbé. J’aime alors chanceler, lentement vers le sol, tel la petite cuiller de Dali, le bruit de mon corps heurtant le sol me rappelant à la réalité. Je chus pour avoir été aimé, à mon juste goût, à juste titre. J’aime me savoir bonbon, savoureux de la dégustation à la déglutition…en corps de femme, il n’est à mon sens pas d’autre exploit que glisser entre vos lèvres.