C’était un matin, un soir ou une nuit….un de ces moments où l’on peut se permettre une fin de vie. L’homme était au bord du fleuve, debout, auscultant le vert sombre de l’eau de ses yeux couchés vers le noir. Il attendait, il attendait que son corps chut, droit, vers le fond ou plutôt il espérait que cela se fasse sans que sa volonté en décida. Rien ne se passa , il se retourna vers la voie ferrée où il aurait aimé finir ce qui avait commencé….C’était là qu’il avait croisé cette femme, c’était là qu’il lui avait parlé, c’était la qu’ils étaient partis au hasard dans un train et c’était là au retour, plus tard, qu’en se retournant, il ne l’avait plus vue. Elle avait disparu….la salope, la garce faite déesse, la salembreuse, la putana de merda de ombilica della terra….pire qu’une bléno, cette face de staphylocoque dorée lui avait volé son argent, ses papiers, ses documents classés secrets auprès du ministère de la défense mondiale. C’était une espionne moulienne, spécialisée dans le massage sexuel et lui, cet imbécile , il s’était laissé avoir, comme un bleu, pendant qu’il se faisait sucer et plus si affinité, les quatre autres mains de la moulienne avait tout récupéré et désormais , ils avaient libre champ pour envahir la terre et……quand il tomba dans l’eau, le rêve entrepris s’estompa, le froid de l’eau lui colla un dernier frisson dans le dos, le bruit de la chute fut celui d’une pierre et comme une pierre , il ne remonta pas à la surface…..Il mourut parce que la réalité n’était pas son rêve, il aurait aimé.La terre fut envahie quelques jours plus tard….Elle fut rebaptisée en l’honneur des femmes mouliennes qui aimait le goût du blanc et les fines appellations.