Place aux cons 18


Aujourd’hui pas de cons que des connasses… pas de sexisme… mais voilà j’ai beau regarder autour de moi, en étant le plus attentif possible, essayant même de deviner au-delà de leurs paroles… je n’en ai pas trouvées. Je peux vous parler de la courbe éléphantesque des hanches de l’une d’entre elles pour laquelle je croyais qu’il y aurait eu une possibilité, mais non, il n’y eut que douceur, elle était même tendre de caresses avec le ventre de son mari qui outrepassait, par le rayon de courbure, la relation au cercle que madame entretenait simplement par l’intermédiaire de ses hanches… J’ai aperçu deux cigognes, hier dans un champ, sur la route qui me conduisait à Bordeaux, pas de connasses… J’ai donc persévéré, me suis attardé sur cette Néerlandaise, dorée, mamelue et à la masse fessière inférieure  à sa masse mammaire. Elle est venue me voir pour me demander  pour quelle raison la connexion internet avait été interrompue et ce dans un français à l’accent aussi dorée que sa peau, avec des arrondis de R aussi ronds que sa poitrine maculée de tâches de rousseur, à moins que ce ne furent des traces que de chauds amants, par le passé, laissèrent sur son corps lors de longs ébats amoureux et qui empêchèrent  le soleil de marquer son corps… il faut qu’il rebranche pour que cela fonctionne, même cela elle le comprit. Puis ce fut le tour d’une petite jeune femme qui servait au restaurant… son seul sourire me suffit à l’écarter de mon prélistage, ainsi que la couleur de ses vêtements, toujours plus lumineux et colorés… qu’en était-il de ses sous-vêtements ?… Poussant mon regard jusqu’à l’extérieur de mon lieu d’écriture, je tombais sur une beauté Allemande, grande, au corps puissant et ferme, à la fesse pleine sans excès, aux seins galbés dont le volume dépassait largement la masse volumique de ma main convulsée… au visage certes sans intérêt, mais cela n’était pas rédhibitoire… Mais sans communication autre que le visuel, il était difficile d’établir un pronostic… Quel cul! Je fis encore le tour du snack, du chemin qui passait devant… plus de femme… que des hommes attablés ou au bar ou aux tables, buvant l’apéro, rigolant sans excès, parlant sport, allemand, néerlandais… il était midi quinze… l’heure du repas, je vis mon reflet dans l’écran de mon ordinateur…

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :