Des élans de conquistador pour embrasser les femmes comme un matador, ma cape rouge à la main, ensanglantée des hymens déchirés…me voilà donc au bout du couloir, trop dans le noir.
Des croupes à pleines mains, brulantes sous mes baisers, mon sexe tendu vers l’évier…me voilà donc seul, trop près du sol.
Des jours perdus dans mes yeux abrutis, leur couleur ébahie….me voilà ivre, à déchirer ce livre.
Des instants passés, simplement enlacés… peau saisie,poésie de merde, me voilà donc.